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Expérience dans les domaines d’intérêt pour l’UICN :Le principal domaine d’enseignement et de recherche de Catherine est le droit de l’environnement et la justice. Elle est l’auteur de publications et de présentations internationales portant sur un large éventail de questions liées au droit de l'environnement et à la justice sur le plan national et international, remportant plusieurs prix pour son travail, notamment le Prix à la recherche 2018 de l'Académie de droit de l'environnement de l'UICN. En ce qui concerne la conservation, elle enseigne le droit de la biodiversité et de la conservation, le droit et les politiques en matière de changement climatique, les droits des animaux et le bien-être animal. Ses recherches et ses écrits portent sur des enjeux spécifiques à la conservation et à la biodiversité, comme les compensations de biodiversité, la gestion à l’échelle des écosystèmes et les lois et réglementations relatives aux pesticides. Catherine a également écrit sur des sujets plus vastes tels que la précaution, les « droits de la nature », l’État de droit en matière environnementale, l’exploitation minière des fonds marins (en Nouvelle-Zélande et dans le Pacifique) et l’adaptation aux changements climatiques. Un autre domaine d’expertise de Catherine est celui des droits des peuples autochtones, y compris le droit à l’autodétermination, ainsi que la reconnaissance en droit des cosmologies autochtones afin de faire évoluer les relations juridiques entre les êtres humains et la nature. Lors du Congrès mondial des parcs (2014), du Congrès mondial de la nature (2016) et du Congrès de la CMDE sur l'État de droit en matière environnementale (2018), Catherine a participé aux sessions de la CMDE, prenant appui sur ces cadres alternatifs en vue de mieux assumer nos responsabilités vis-à-vis de la nature. Parmi ses activités à venir, il convient de mentionner un travail pour la Commission de la gestion des écosystèmes (CGE) de l’UICN sur la manière dont les lois et les politiques peuvent faire progresser les principes de gestion à l’échelle des écosystèmes au bénéfice de la conservation de la biodiversité, le Congrès 2020 de la CMDE sur l’État de droit en matière environnementale et une conférence de l’UICN sur la conservation dans un cadre de crise climatique qui se tiendra en Nouvelle-Zélande en 2020.
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