Le Congrès mondial de la nature de l’UICN qui s’ouvre cette semaine à Marseille est l’une des nombreuses réunions internationales cruciales prévues dans les mois à venir qui pourraient déterminer le sort de notre planète. Ce qui les relie, c’est notre dépendance à l’égard d’écosystèmes terrestres et marins en grande partie intacts.
Les écosystèmes en grande partie intacts abritent une plus grande biodiversité, absorbent davantage de carbone, contribuent à prévenir la prolifération d’agents pathogènes et sous-tendent les systèmes alimentaires et les moyens de subsistance des populations autochtones et des communautés locales. Les données scientifiques sont sans équivoque…